L’horreur. L’épouvante. La recherche du grand frisson est pour le cinéphile une quête primordiale. Car mine de rien, la vraie peur au cinéma, est plutôt rare. Nombreux sont les sympathiques trips à nous arracher de temps en temps un sursaut, mais peu sont ceux qui parviennent à glacer le sang sur la longueur. Idem pour ce qui est du gore. Facile de déverser des litrons d’hémoglobine mais pas si simple de mettre en scène de manière convaincante le carnage. Le consensus général veut que l’âge d’or du cinéma d’horreur/épouvante soit passé depuis un bail. Aujourd’hui, alors que le genre ne cesse de ressusciter via des œuvres parfois super bien ficelées, difficile d’affirmer pourtant qu&rs... Lire la suite
Il est gros, grand, possède deux rangées de dents acérées, une longue queue, pousse un cri aigu reconnaissable entre mille et terrorise le Japon depuis 1954. Il s’agit bien sûr de Godzilla, le plus célèbre Kaiju de l’histoire du cinéma, créé par Tomoyuki Tanaka et le studio Toho et voulu comme une allégorie de la peur du nucléaire après les bombardements atomiques américains de la Seconde Guerre Mondiale.
Godzilla qui, comme les sushis et les mangas, a su s’exporter aux États-Unis, en 1998, quand Roland Emmerich réalise sa propre version bancale en forme de grosse boursouflure bourrée à ras la gueule de clichés embarrassants. Le tout en continuant une prolifique carrière dans son pays d&rs... Lire la suite
Titre original : The Mist
Note:
Origine : États-Unis
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