[Critique] IDENTITE SECRETE
Titre original : Abduction
Rating: 
Origine : États-Unis
Réalisateur : John Singleton
Distribution : Taylor Lautner, Sigourney Weaver, Alfred Molina, Lily Collins, Maria Bello, Jason Isaacs…
Genre : Action
Date de sortie : 28 septembre 2011
Le Pitch :
Un jeune homme glabre au teint halé touché par une paralysie de la face qui lui interdit toute expression trop prononcée, s’aperçoit par hasard que ses parents ne sont en fait que des agents du gouvernement et que son vrai géniteur est un redoutable espion. Dès lors, il se retrouve pourchassé par des tueurs sans pitié et par la CIA sans savoir à qui faire confiance. Comment trouver alors le temps d’emballer sa jolie voisine aux sourcils broussailleux ?
La Critique :
Identité Secrète est à la trilogie Jason Bourne, ce que Twilight est à Dracula. Cette phrase résume davantage que bien des mots l’essence première du dernier film de John Singleton. Ce qui est triste quand on sait que le gars a débuté avec Boyz n’ the Hood. Là, le cinéaste se contente de servir la soupe au jeune éphèbe de Twilight et de promener sa camera paresseuse au fil de scènes, toutes plus inintéressantes les unes que les autres. Un constat inévitable que les performances des acteurs n’arrivent pas à nuancer. Taylor Lautner est là sans l’être et se contente de jouer de son charisme en carton, Sigourney Weaver a l’air fatigué et peu concerné et Alfred Molina boit un milkshake. C’est triste, extrêmement soporifique et parfois drôle. De manière involontaire bien sûr. Un beau ratage à destination d’un public peu exigent (et jeune) qui ferait presque passer le récent Numéro 4 pour un maitre étalon du genre (les deux long-métrages ont une intrigue similaire et ciblent la même tranche d’âge).
@ Gilles Rolland
ça vaut pas Michael Bay
OUIIII!!!!! LE PREMIER MICHAEL BAY CALLING DE ON REMBOBINE.COM!!!! CA A PRIT LE TEMPS MAIS JE L’AI FAIT!
[…] est salement à la ramasse et semble emprunter une voie plus que glissante (rappelez-vous le navet Identité Secrète). Pour autant, c’est complètement con de comparer l’incomparable et le besoin […]