[Dossier] 10 films qui vont vous faire passer l’envie de vous baigner

DOSSIERS | 5 août 2018 | Aucun commentaire

Aaaaah l’été ! La chaleur, les glaces, les bikinis et les moules-burnes ! Les chichis, les chouchous, les beignets, les coktails et le sable chaud. Aaaah l’été et la baignade, dans des eaux parfois infestées de créatures affamées, qui n’attendent qu’une chose : que vous veniez à l’eau ! Le cinéma n’a jamais été avare en longs-métrages mettant en scène des baigneurs par la suite dévorés par des requins, des crocodiles ou des virus carnassiers. Des films comme ceux de ce listing…

Les Dents de la Mer (Steven Spielberg, 1975)

Un film culte parmi les films cultes. Celui qui a terrorisé (et qui continue de le faire) des millions de spectateurs à travers le monde. Les Dents de la Mer qui a aussi malheureusement contribué à la peur du requin. Un chef-d’œuvre total à l’origine d’un genre à part entière qui n’a pas donné que des bonnes choses. La base ! Impossible aujourd’hui d’aller se baigner dans l’océan ou dans la mer sans y penser et se remémorer la fameuse musique de John Williams, elle aussi pour toujours associée à la progression fugace dans les flots de l’aileron annonciateur du carnage…

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Lake Placid (Steve Miner, 1999)

On passe sans transition à Lake Placid et son crocodile géant. Un film qui possède de nombreuses caractéristique du parfait nanar, extrêmement divertissant et bien rythmé, soutenu qui plus est par d’excellents acteurs (Bridget Fonda en première ligne). Les effets-spéciaux étant aussi très réussis (pour l’époque). On se souvient notamment de l’attaque du crocodile sur un pauvre ours brun… Un must !

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Solitaire (Greg McLean, 2007)

Peut-être le meilleur film de crocodile jamais réalisé. Une montée en puissance inexorable, une tension à couper au couteau, un environnement angoissant (les marécages australiens) et une créature surpuissante à l’appétit insaisissable.

Piranhas (Joe Dante, 1978)

Produit par un Roger Corman désireux de surfer sans attendre sur la déferlante déclenchée par Les Dents de la Mer, Piranhas voit le jeune Joe Dante passer à l’action. Un réalisateur qui confère rapidement une dimension parodique à son film, emballant néanmoins quelques séquences suffisamment marquantes pour toucher au vif les spectateurs de l’époque. Y compris Spielberg, qui décidera de confier à Dante la mise en scène de Gremlins après avoir vu Piranhas. La boucle était bouclée.

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Open Water (Chris Kentis, 2003)

Inspiré d’une histoire vraie, ce film a marqué bon nombre de plongeurs du dimanche, qui tout à coup, virent naître dans leur esprit la peur d’être oubliés en pleine mer par leur instructeur. D’être abandonnés puis attaqués par des requins… Imparable.

The Reef (Andrew Traucki, 2010)

Lui aussi inspiré d’une histoire vraie, The Reef voit des naufragés faire face à des attaques de requins, au beau milieu de nulle-part. Pas révolutionnaire mais très efficace.

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The Bay (Barry Levinson, 2012)

Dans le cas présent, pas de créature, mais une sorte de virus. Une conséquence de la pollution et du comportement irresponsable de l’homme vis à vis de la nature. Un terrible virus carnassier qui touche quiconque se baigne dans la baie qui donne son titre au film… Le genre de film qui donne envie de prendre une bonne douche après avoir fait trempette.

Anaconda (Luis Llosa, 1997)

Un gros serpent fait comprendre à un groupe de personnes venues tourner un documentaire sur son territoire qu’il ne faut pas trop le chatouiller. Alors non ce n’est pas un grand film. Mais c’est un film très divertissant, qui en plus, ne prétend jamais offrir autre chose que ce que son postulat promet. Puis le casting est top. Ça aide…

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Piranha 3D (Alexandre Aja, 2010)

Le remake du film de Joe Dante cité plus haut. Un bon remake. Pourquoi ? Parce que jamais Alexandre Aja ne prétend vouloir faire mieux que son aîné. Très vite, passé une introduction en forme d’hommage, il s’éloigne et trouve sa propre tonalité, dans l’excès. Gore, vulgaire et tapageur, Piranha 3D est un film d’horreur en roue libre. Et c’est d’ailleurs l’une de ses plus grandes qualités.

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Instinct de survie (Jaume Collet-Serra, 2016)

Une surfeuse se heurte à la détermination d’un énorme squale, à quelques mètres du rivage… Pas révolutionnaire du tout, le film de Jaume Collet-Serra a pour lui son honnêteté et son atmosphère assez âpre. Pas trop d’artifices ici. Blake Lively, de tous les plans, est de plus parfaite…

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Bonus

Vendredi 13 (Sean S. Cunningham, 1980)

Dans Vendredi 13, qui pour rappel, se déroule, à l’instar de beaucoup de ses suites, au bord d’un lac, il ne fait pas bon de se baigner. Car au fond de l’eau se cache le plus terrible et le plus barbare des psycho-killers. Un assassin du nom de Jason qui peut retenir sa respiration longtemps… très longtemps…

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En Eaux Troubles (The Meg) (Jon Turteltaub, 2018)

Le film n’est pas sorti à l’heure de la parution de cet article. Pourtant, parce que livre de Steve Alten est génial et parce qu’on adore Jason Statham, on sait que The Meg a de grandes chances de se tailler la part du loin et de s’imposer comme l’un des meilleurs films de requins…

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@ Gilles Rolland

Par Gilles Rolland le 5 août 2018

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