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[Critique] LES MÉMOIRES D’UN ASSASSIN INTERNATIONAL

  • 12 Nov 2016
  • Gilles Rolland
  • CRITIQUES
  • 0 commentaire

Titre original : The True Memoirs Of An International Assassin

Note: ★★★☆☆
Origine : États-Unis
Réalisateur : Jeff Wadlow
Distribution : Kevin James, Zulay Henao, Andy Garcia, Andrew Howard, Kelen Coleman, Ron Rifkin, Kim Coates, Maurice Compte, Rob Riggle…
Genre : Action/Comédie
Date de sortie : 11 novembre 2016 (Netflix)

Le Pitch :
Sam, un comptable, arrive enfin à trouver un éditeur pour son premier roman centré sur les aventures d’un assassin de classe internationale. Ravi, il ne tarde pas à désenchanter quand il s’aperçoit que le titre de son livre a été modifié. Désormais, tout le monde croit que tout ce que le récit contient est vrai. Y compris un révolutionnaire vénézuélien, qui kidnappe Sam afin de lui confier une mission à haut risque…

La Critique de Les Mémoires d’un Assassin International :

Membre actif de la troupe d’Adam Sandler, au même titre que David Spade ou Rob Schneider, Kevin James ne bénéficie pas lui non plus d’un grande notoriété en France où ses films « solos » sont souvent passés inaperçus. Distribué par Netflix, Les Mémoires d’un Assassin International, ne devrait pas changer cet état de fait mais devrait également plaire à tous ceux qui se délectent de ce genre de comédie dépaysante et/ou qui admirent Kevin James bien sûr. Un acteur sympathique qui ici, se donne à fond…

Les-mémoires-dun-assassin-international-James-Garcia

James, Kevin James

Kevin James a souvent joué sur un certain décalage, en campant des personnages lambdas confrontés à des situations extraordinaires. Le voir ainsi devenir en quelque sorte une déclinaison de James Bond dans cette comédie d’action a quelque chose de prime abord plutôt plaisant. Surtout quand le personnage, après avoir fantasmé des situations où il tabassait des bad guys à la chaîne en utilisant des techniques martiales élaborées, doit se confronter à de vrais méchants. Le film orchestre donc le passage à l’acte d’un homme qui s’est depuis toujours réfugié derrière son bureau et qui, à l’heure où ses écrits sont enfin publiés, doit entrer de plein pied dans le monde qu’il a toujours imaginé. Ce n’est pas révolutionnaire, mais c’est plutôt drôle et bien exécuté. Grâce à l’investissement de Kevin James donc, mais aussi grâce à Jeff Wadlow, le réalisateur qui a d’ailleurs co-écrit le scénario. Le même Wadlow qui avait réalisé le conspué (un peu injustement) Kick-Ass 2 et Never Back Down, cet espèce de remake bourrin de Karate Kid à la sauce combat de rue. Un type de toute évidence qualifié pour mettre en scène les bastons, et dont les compétences s’avèrent largement à la hauteur pour rendre justice à la motivation et à la implication de l’acteur principal.
Avec toute la bonne volonté du monde, les deux hommes parviennent à livrer un spectacle de bonne facture, malheureusement un peu plombé par un scénario souffrant de méchantes baisses de régime.

Parody or not parody ?

Les Mémoires d’un Assassin International s’appuie bien évidemment sur les codes des gros films d’action des années 80 pour bâtir son intrigue. Il lorgne aussi du côté des cadors du film d’espionnage, 007 en tête, et essaye de s’en approprier les gimmicks pour les cuisiner à sa sauce. Parfois ça marche, mais à d’autres moments beaucoup moins. Surtout quand les péripéties s’enchaînent, de même que les personnages. Kevin James se retrouve au milieu d’un gros bazar, au Venezuela, et doit composer avec un président véreux, un révolutionnaire charismatique, un tueur fou-furieux et des agents de la CIA bien corrompus. Sans oublier l’indispensable nana canon qui ici, évite heureusement les gros clichés du genre, en s’imposant avant tout comme une pro capable de casser les dents à n’importe quel type un peu trop zélé. Incarnée par la sculpturale Zulay Henao, cette femme d’action est d’ailleurs l’un des personnages les plus stimulants du film et les scènes où elle fonce dans le tas font partie des meilleures du lot, à l’image de cette baston très efficace avec Andrew Howard (qu’on a pu voir dans Banshee).
Pour autant, trop c’est trop. Le métrage cumule les couches mais ne parvient pas à conférer une rythmique durable à la progression de son récit. Les petits ventres mous se succèdent. Surtout dès lors qu’on sait comment tout va se terminer, c’est à dire très rapidement. Il est certes agréable de voir Andy Garcia s’amuser comme un petit fou au milieu de la jungle, tout comme il est agréable de retrouver Rob Riggle, mais plus l’histoire progresse et moins les occasions de se marrer sont nombreuses, au profit d’un déroulement classique, qui conduit heureusement à une conclusion téléphonée mais bien exécutée et quant à elle plutôt drôle.
Là où Prof Poids Lourds, pour prendre un exemple de franche réussite dans la filmographie de James, avait su dépasser sa condition de simple comédie pour s’imposer avec une certaine fureur, Les Mémoires d’un Assassin International fait plus ou moins exactement ce qu’on était en droit de prévoir. Ni plus ni moins, sans vraiment totalement démériter mais sans trop de flamboyance non plus.

En Bref…
Kevin James a beau porter vaillamment cette comédie d’action, celle-ci s’avère trop prévisible et souvent trop tiède pour pleinement convaincre. Le spectacle reste cela dit amusant, deux ou trois gags font vraiment mouche, mais l’ensemble manque de fougue et d’ambition.

@ Gilles Rolland

Les-mémoires-dun-assassin-international  Crédits photo : Netflix

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