[Dossier] 10 films à voir au sujet d’un mec accusé d’un crime qu’il n’a pas commis

DOSSIERS | 26 août 2018 | Aucun commentaire

Ils n’ont rien fait, ils n’y sont pour rien ! Ce sont les accusés à tort !
La figure de l’accusé à tort est récurrente dans le cinéma. Dans le cinéma policier et dans le film d’action tout spécialement. À la télévision aussi d’ailleurs, même si là n’est pas le propos. Mais quels sont les meilleurs films dans lesquels un type se bât pour prouver son innocence ? Attention, ceci n’est pas un classement…

La Mort aux trousses (Alfred Hitchcock, 1959)

On commence avec un film qui ne correspond pas exactement à l’intitulé mais qui mérite assurément de se retrouver dans cette liste. Un chef-d’œuvre d’une maîtrise absolue, porté par un Cary Grant monstrueux de charisme. Le meilleur Hitchcock ? Peut-être bien…

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Les Évadés (Frank Darabont, 1994)

Brillante adaptation d’une nouvelle de Stephen King, ce film souvent considéré comme l’un des grands monuments du septième-art, met en scène Andy Dufresne, un banquier sans histoire qui va se retrouver accusé du meurtre de sa femme. Emprisonné au pénitencier de Shawshank, il va vivre l’enfer, mais va aussi rencontrer Red, un vieux de la vieille avec lequel il va développer une puissante amitié et découvrir qu’on ne peut pas enfermer l’espoir, comme le dit si bien l’affiche.

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Le Fugitif (Andrew Davis, 1993)

Le docteur Richard Kimble le clame haut et fort : il n’est pour rien dans le meurtre de sa femme. C’est un manchot qui a fait le coup (pas l’animal). Adaptation cinématographique de la série éponyme, Le Fugitif fait parfaitement le job et entraîne du début à la fin Harrison Ford dans une aventure spectaculaire et tendue.

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La Ligne Verte (Frank Daranbont, 1999)

Darabont revient chez King 5 ans après Les Évadés et livre à nouveau une œuvre puissante dans laquelle un colosse est accusé à tort du meurtre de deux fillettes. Un grand film, qui a de plus remarquablement vieilli, autant dans son propos que dans sa forme.

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Hurricane Carter (Norman Jewison, 1999)

Denzel Washington campe ici le véritable Hurricane Carter, un boxeur accusé d’un triple meurtre qui s’est battu pour prouver son innocence. Un biopic solide, un acteur au sommet de son art, une légende d’Hollywood plus que jamais alerte aux commandes et une chanson culte de Bob Dylan à la B.O.. Recette gagnante. K.O..

Présumé innocent (Alan J. Pakula, 1990)

Harrison Ford revient sur le banc des accusés dans un film du talentueux Alan J. Pakula. Un thriller juridique comme on les aime.

Délit d’innocence (Peter Yates, 1989)

Tom Selleck, toujours accompagné de sa fidèle moustache, se retrouve dans la ligne de mire de deux flics pourris qui parviennent à le faire emprisonner pour un crime qu’il n’a pas commis. De quoi l’énerver légèrement et lui donner des désirs de vengeance.
Rien d’exceptionnel ici mais un Selleck parfaitement en place, une histoire solide et une réalisation tout aussi béton. Il n’en faut pas plus.

Running Man (Paul Michael Glaser, 1987)

Arnold Schwarzenegger est Ben Richards, un flic accusé à tort d’un massacre. Un homme devenu le candidat star d’un redoutable jeu de télé-réalité en forme de version moderne des combats de gladiateurs. Fausse adaptation du roman de Richard Bachman (Stephen King), ce film d’action bien burné, parcouru de séquences bien brutales et de punchlines parfaites, fut accusé, pas vraiment à tort cette fois-ci, d’avoir allègrement copié Le Prix du Danger, d’Yves Boisset. Au final, cela n’a aucune importance tant le spectacle s’avère galvanisant.

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Papillon (Franklin J. Schaffner, 1973)

Il n’est pas ici question de l’autre version, celle de 2018, mais bien du chef-d’œuvre de Shaffner avec Steve McQueen et Dustin Hoffman. Un grand film, âpre et brutal mais aussi magnifique dans sa façon d’illustrer la percée impitoyable d’un espoir grandissant.

Tango & Cash (Andreï Kontchalovski, 1989)

Les deux meilleurs flics de la ville, qui ne peuvent d’ailleurs pas trop se voir en peinture, sont accusés à tord=t d’un meurtre et sont envoyés ensemble dans une prison toute pourrie dans laquelle règne la violence. Une seule solution pour prouver leur innocence : se faire la malle et tabasser un maximum de bad guys. Sylvester Stallone et Kurt Russell sont parfaits dans ce buddy movie emblématique à la genèse certes compliquée mais à l’impact bien réel.

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@ Gilles Rolland

Par Gilles Rolland le 26 août 2018

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