[Dossier] Top 12 des meilleurs films de maison hantée

DOSSIERS | 21 octobre 2018 | Aucun commentaire

La magistrale série The Haunting of Hill House sur Netflix nous a furieusement donné envie de nous pencher sur les meilleurs films de maison hantée. Un genre à part entière qui a donné du très bon, avec une poignée de chefs-d’œuvre, mais aussi des choses totalement nazes, que nous ne mentionnerons pas ici bien sûr. Ici, c’est le top du top. Le meilleur de la maison hantée au cinéma.

1 – Shining (Stanley Kubrick, 1980)

Cette adaptation du célèbre roman de Stephen King (qu’il ne cesse de désavouer depuis sa sortie, affirmant que si il s’agit en effet d’un excellent film, l’adaptation est foireuse) est monumentale. Déjà parce qu’elle fait franchement flipper et puis parce que tout y est : les visions d’horreur, l’ambiance, la musique, les acteurs investis, la mise en scène de génie…

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2 – Evil Dead 2 (Sam Raimi, 1987)

Le 2 est avant le 1 car il s’agit sur bien des aspects d’une sorte de relecture beaucoup plus maîtrisée, certes moins effrayante et pesante, mais néanmoins plus drôle. Une sorte de déclinaison gore d’un dessin-animé Tex Avery, porté par un Bruce Campbell au sommet de son art. Le seul film de maison hantée qui soit parvenu à s’imposer avec autant de flamboyance dans deux genres distincts, à savoir la comédie et l’horreur.

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3 – Evil Dead (Sam Raimi, 1983)

Nous étions obligés de tout de même mentionner le premier Evil Dead. Parce qu’il a posé des bases. Parce qu’il est bien dégueulasse et parce que sa cabane au fond des bois reste l’une des plus tétanisantes de toute l’histoire du septième-art.

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4 – La Maison du diable (Robert Wise, 1964)

Gros gros gros classique. Certains disent même que depuis, on n’a pas fait mieux. Si on peut toujours argumenter pour contredire cette affirmation, on peut aussi s’y ranger. La Maison du diable où comment poser à la fois les bases de tout un genre et toujours tenir la dragée haute plus de 50 ans plus tard à tous ceux qui essayent de marcher sur ses traces.

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5 – L’Enfant du diable (Peter Medak, 1980)

Plutôt méconnu, ce fantastique film d’épouvante de Peter Medak, un réalisateur aujourd’hui injustement bridé et donc tombé dans l’oubli, est un véritable classique inoxydable. L’Enfant du diable, alias The Changeling en français, est une merveille du genre. Porté par le solide George C. Scott, il s’avère à la fois terriblement éprouvant, mais aussi émouvant. Un chef-d’œuvre !

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6 – Les Autres (Alejandro Amenábar, 2001)

Un des rares films à twist qui supporte de multiples visions. La « faute » à un réalisateur parfaitement maître de ses effets et de son histoire, bien aidé par un casting emmené par la majestueuse Nicole Kidman.

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7 – Poltergeist (Tobe Hooper, 1982)

Réalisé par Tobe Hooper, chapeauté par Steven Spielberg (plusieurs voix se sont élevées au court des années affirmant que Spielberg était le vrai metteur en scène), ce film est un autre modèle du genre. Baigné dans l’ambiance des productions Amblin, il parvient à la fois à convoquer le merveilleux propre à Spielberg mais aussi à filer quelques belles sueurs froides.

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8 – House (Steve Miner, 1986)

Un film imparfait et bancal sur bien des aspects mais aussi terriblement divertissant et généreux. Un roller coaster cartoonesque, qui ne s’impose aucune limite, avec comme point d’orgue un affrontement final d’anthologie jubilatoire à n’en pas douter.

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9 – Beetlejuice (Tim Burton, 1988)

L’un des meilleurs films de Tim Burton. Une réussite qui tient aussi à l’investissement d’un Michael Keaton en roue libre, incroyable dans la peau du personnage principal.

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10 – La Dame en noir (James Watkins, 2012)

La Dame en noir a permis de revitaliser le genre de bien des façons. Un tour de force esthétique qui impose une ambiance hyper immersive et parvient à vraiment foutre les jetons grâce à une poignée de scènes orchestrées de main de maître et à la présence d’un Daniel Radcliffe excellent du début à la fin. Malheureusement, il n’en sera pas de même pour la suite.

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11 – Conjuring : Les dossiers Warren (James Wan, 2013)

Lui aussi à permis au genre de rebondir après des années de productions plutôt dispensables. Un film référentiel certes, pas super original mais néanmoins très efficace et visuellement proche de la perfection.

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12 – La Maison des Ombres (Nick Murphy, 2011)

Sorti en catimini, La Maison des Ombres jouit de la présence de l’intense Rebeca Hall, qui s’épanouit au centre d’une histoire qui mêle drame et fantastique tout en s’emménageant des moments de terreur très efficaces.

 

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Et non, l’absence d’Amityville n’est pas due à un oubli.

@ Gilles Rolland

Par Gilles Rolland le 21 octobre 2018

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