[News] Eleanor Rigby : la love story de Jessica Chastain et James McAvoy

NEWS | 28 juin 2014 | Aucun commentaire
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C’est la plus vieille histoire du monde. Une femme et un homme tombent amoureux l’un de l’autre. La plus vieille et peut-être la plus universelle. Pour les cinéastes, comme pour les écrivains ou les musiciens, cette histoire est souvent à la base d’un nombre incalculable d’oeuvres. Des œuvres parfois terres-à-terre et parfois non, tant ce simple postulat de départ peut souvent se voir sublimé par l’imagination ou encore l’interprétation des créateurs.

C’est apparemment le cas pour The Disappearance of Eleanor Rigby, de Ned Benson. Un réalisateur qui signe son premier film. Ou plutôt ses premiers films, car à l’origine, Eleanor Rigby est un diptyque. Deux films pour une même histoire racontée du point de vue des deux protagonistes. Intitulés Her et Him (elle et lui), les deux longs-métrages ont semble-t-il été condensés en un seul, intitulé quant à lui Them (eux). À l’origine de la manoeuvre, le tout puissant producteur Harvey Weinstein. C’est d’ailleurs sous cette forme plus compacte que le film de Benson a été présenté à Cannes, dans la sélection Un Certain Regard, cette année. Aux États-Unis, à en croire le cinéaste, les trois déclinaisons (Her, Him et Them) seront disponibles. En France, pour le moment, alors qu’aucune date de sortie n’est avancée, le mystère reste complet.

Mettant en scène la romance entre Jessica Chastain et James McAvoy, Eleanor Rigby va néanmoins plus loin. Racontant les prémices de cette love story, il choisit ensuite une tonalité plus dramatique, en mettant en scène la disparition inexpliquée du personnage incarné par Jessica Chastain, pour ensuite raconter les recherches mené par James McAvoy.

Outre les deux têtes d’affiche ô combien fréquentables, le film peut aussi compter sur une distribution aux petits oignons, comprenant notamment William Hurt, Isabelle Huppert, Viola Davis ou encore Bill Hader.

Concernant le titre du film, qui évoque forcément letube éponyme des Beatles, là aussi c’est le flou. Même si en se penchant sur l’histoire de cette composition signée majoritairement par Paul McCartney, on retrouve pas mal de similitudes. La notion de solitude notamment, au centre de la chanson et du long-métrage, et cette fameuse figure féminine, autour de laquelle tournent toutes les dynamiques.

@ Gilles Rolland

Par Gilles Rolland le 28 juin 2014

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