[Dossier] Top 15 des meilleurs films de Steven Spielberg

DOSSIERS | 1 avril 2018 | Aucun commentaire

Dresser un classement des meilleurs films de Spielberg ? Autant essayer de faire de même avec l’œuvre de Mozart ou celle des Beatles. Parce que Steven, c’est le maître de l’entertainment. Le patron. Celui qui a réalisé le premier blockbuster et qui n’a jamais sacrifié son idéal de cinéma sur l’autel du tout-commercial. Un créateur, un génie, un homme simple doté de capacités extraordinaires. Un artiste passionnant. L’un des plus grands.
Alors oui, ce top est bien sûr subjectif. De même que l’avis, voulu concis, qui accompagne chaque titre. On a tous notre Spielberg préféré. Nos Spielberg préférés. Et au fait, quels sont les vôtres ?

1 – Les Aventuriers de l’Arche Perdue (1981)

La quintessence du film d’aventure. Un personnage emblématique, une mise en scène incroyable (mais pas tape-à-l’œil), une partition musicale légendaire. Un modèle que personne ne parviendra à surpasser. Pas même Spielberg lui-même, qui pourtant, essayera plusieurs fois.

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2 – Jurassic Park (1993)

On peut souligner les différences plus ou moins flagrantes entre le livre et le roman de Michael Crichton ou simplement apprécier à sa juste valeur ce chef-d’œuvre parfaitement maîtrisé de bout en bout. Un film qui plus est incroyablement généreux, qui cristallise de bien des façons l’essence du cinéma de Spielberg. Et en plus, il vieillit remarquablement bien.

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3 – Les Dents de la Mer (1975)

Un monument de mise en scène, des séquences d’anthologie, une peur sourde résistant parfaitement à l’usure du temps, un thème parfait… Les Dents de la Mer, premier blockbuster de Spielberg, démontrait déjà tout le génie du cinéaste. Dans le genre, on n’a jamais fait mieux. Ou même aussi bien d’ailleurs.

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4 – Indiana Jones et le Temple Maudit (1984)

Spielberg entretient une relation compliquée avec le second volet des aventures d’Indy. Un film qui contient tout ce que l’on est en droit d’attendre d’une telle aventure : du lyrisme, du souffle, de l’humour, de l’horreur, parfois très frontale… Un show total, aussi galvanisant que magistralement orchestré.

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5 – La Liste de Schindler (1993)

Un monument à la puissance évocatrice rare. Un chef-d’œuvre d’émotion, bien sûr difficile et indispensable. Un film inscrit dans l’Histoire. Du très grand cinéma.

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6 – Duel (1971)

Aussi simple que marquant, ce film de traque, le premier de Spielberg, est d’une intensité telle qu’il est, avec les années, largement parvenu à se hisser au-dessus de sa simple condition de téléfilm (même si il fut projeté en salle dans certains pays). Truffé d’idées géniales de mise en scène, angoissant au possible, Duel est un monument.

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7 – E.T. L’Extraterrestre (1982)

Forcément E.T. ! Comment ne pas citer E.T. ? Ce film qui a bercé toute une génération, que l’on ne se lasse pas de revoir. Le genre qu’on pourrait présenter en disant : «  Voilà ! C’est ça le cinéma de Spielberg ! ».

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8 – Indiana Jones et La Dernière Croisade (1989)

La bonne idée du film ? Avoir réuni deux générations de Jones et ainsi permis au duo Harrison Ford/Sean Connery de briller dans une aventure en forme de rollercoaster géant. Un régal aux effets-spéciaux certes un peu datés, mais toujours d’une efficacité redoutable.

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9 – Ready Player One (2018)

Un film somme mais pas seulement. Ready Player One ne fait pas que regarder dans le rétro en convoquant la crème de la crème de la pop culture de ces 40 dernières années : il va de l’avant, fonce dans le tas avec un enthousiasme dingue, envoie valser le cynisme et propose en plus d’un divertissement total et définitif, une réflexion pleine de tendresse, toujours pertinente et magnifiquement incarnée. Sans parler du fait que Ready Player One est un monument de mise en scène.

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10 – Le Terminal (2004)

Inexplicablement mal aimé par une partie des fans du cinéaste, ce formidable drame humain réussit pourtant l’exploit de ne jamais sonner avec une quelconque lourdeur. Lumineux, émouvant, galvanisant, il démontre tout le génie de Spielberg pour ce qui est de raconter de belles histoires, et le pose comme l’un des héritiers de Capra.

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11 – Il faut sauver le Soldat Ryan (1998)

Une scène d’ouverture incroyable… Un film de guerre mémorable, intense au possible, porté par des comédiens en état de grâce. Spielberg raconte l’Histoire avec ferveur. Éprouvant. Inoubliable.

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12 – Cheval de Guerre (2011)

Celui-là aussi est un peu passé inaperçu. Un film qu’il n’est pas interdit de considérer comme l’un des plus émouvants de son réalisateur. Un morceau de bravoure à la force évocatrice dévastatrice.

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13 – Pentagon Papers (2018)

Dans la lignée des Hommes du Président et d’autres œuvres politiques entrées au Panthéon du grand cinéma américain, Pentagon Papers est un classique instantané. Un film qui contient en outre suffisamment de séquences incroyables pour mériter de figurer dans n’importe quel cursus à destination des apprentis metteurs en scène.

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14 – Minorty Report (2002)

Spielberg s’approprie l’œuvre de Philip K. Dick et livre un thriller hi-tech rondement mené, magnifiquement illustré et intensément incarné par un Tom Cruise en osmose totale avec son réalisateur. En avance sur son temps, remarquable du début à la fin, Minority Report fait figure de référence.

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15 – A.I. Intelligence Artificielle (2001)

Spielberg reprend le flambeau de son ami Stanley Kubrick et emballe une œuvre complexe, extrêmement dense, à fleur de peau. Un Spielberg incompris. L’un des plus ambitieux de la filmographie du maître.

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15 – La Guerre des Mondes (2005)

On aurait beau pointer du doigt le scénario assez simpliste et le parcours téléphoné du personnage brillamment interprété par Tom Cruise, ce serait faire fausse route. Le principal est ailleurs : dans cette profonde honnêteté dont a toujours fait preuve Spielberg et qui ici, s’exprime au travers la rédemption d’un père perdu dans les méandres d’une apocalypse qui renvoie de bien des façons à sa condition personnelle. Et puis bon, visuellement, on est tout de même en face de l’un des films les plus spectaculaires du maître. Ce qui n’est pas peu dire le concernant !

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@ Gilles Rolland

Par Gilles Rolland le 1 avril 2018

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